• Source: RHC

    Santiago de Cuba, 5 août, (RHC).- Cuba et la Bolivie renforcent leurs relations bilatérales depuis l'élection d'Evo Morales à la tête du pays en janvier 2006. Cette coopération s'est accélérée dernièrement dans plusieurs secteurs. Dans des déclarations à Radio Havane Cuba, l'ambassadeur de Bolivie à Cuba, Palmiro Soria, a souligné l'importance de ces échanges :

    « La santé constitue un domaine large car il ne s'agit pas seulement de la préparation et la formation des cadres, il y a également l'acquisition de médicaments et même la construction d'une usine de médicaments et la recherche. Nous collaborons également dans le domaine de l'éducation, nous formons des spécialistes dans diverses branches. Nous construisons une usine sucrière et une usine de jus avec l'assistance technique de Cuba. »

    Palmiro Soria a donné des détails sur les étudiants boliviens formés à Cuba:

    « 1007 jeunes étudient toujours à Cuba, dont 650 font la première spécialité, 150 vont être diplômés cette année et les autres sont en quatrième ou cinquième année. Les chiffres de cette promotion sont importants et significatifs, ils expriment et symbolisent la solidarité, l'amitié qui unissent ces deux peuples intimement liés que sont Cuba et la Bolivie.

    Indépendamment de l'importance que peut avoir pour une famille le fait d'avoir un jeune diplômé en médecine, il y a une signification importante pour la Bolivie car nous parlons de médecins engagés en faveur du processus de transformations et de changements révolutionnaires en Bolivie, éduqués dans les principes et les valeurs de la Révolution cubaine. »

    Edité par Peio Ponce

    ***

    Merci à mouvementcommuniste.over-blog.com/

     


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  • Source: Granma (espagnol) - Traduction: Françoise Lopez - Cuba Si France Provence

    Cuba : Déclaration de la Directrice Générale pour les Etats-Unis du Ministere des Relations Exterieures, Joséfina Vidal Ferreiro

    Une fois de plus, se confirment les plaintes récurrentes du gouvernement cubain à propos des plans subversifs que le Gouvernement des Etats-Unis continue à mettre en place contre Cuba.

    Dans un article publié le 4 août, suite un reportage du mois d'avril dernier sur le projet secret "ZunZuneo", l'agence de presse nord-américaine Associated Press (AP) révèle un autre de ces plans financés par l'Agence pour le Développement International des Etats-Unis (USAID) dans le but d'influencer négativement la jeunesse cubaine. Ce projet, dont le Gouvernement des Etats-Unis a accepté effrontément la paternité et l'exécution, prétendrait transformer en acteurs politiques de jeunes Cubains, identifiés au préalable par des émissaires latino-américains recrutés dans ce but, et les organiser pour qu'ils agissent contre le gouvernement cubain.

    Ces faits prouvent que le Gouvernement des Etats-Unis n'a pas renoncé à ses plans hostiles et d'ingérence contre Cuba qui prétendent créer des situations de déstabilisation pour provoquer des changements dans notre ordre politique et auxquels ils consacrent des millions de dollars chaque année.

    Le Gouvernement des Etats-Unis doit cesser une fois pour toutes ces actions subversives, illégales et secrètes contre Cuba, qui violent notre souveraineté et la volonté expresse du peuple cubain de perfectionner notre modèle économique et social et de consolider notre démocratie.

    La Havane, 5 août 2014


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  • Source: Radio Havane Cuba, CubaDebate

    Washington, 5 août (Cubadebate-RHC)- Les États-Unis ont reconnu avoir envoyé de jeunes latino-américains à Cuba dans le cadre d'un programme subversif de l'Agence étasunienne pour le Développement International (USAID), sous couvert d'initiatives civique et de santé.


    « Il y a des programmes dans le monde visant à développer une société civile plus vivante et capable, ce sont des programmes mondiaux de promotion de la démocratie. De toute évidence, ce programme s'inscrivait dans cette ligne » a essayé de justifier le porte-parole du Département d'État, Jen Psaki.


    L'existence de ce programme a été révélée par une enquête de l'agence de presse étasunienne AP. L'USAID, étroitement liée à la CIA, a envoyé depuis 2009 des jeunes vénézuéliens, costariciens et péruviens à Cuba afin de déstabiliser politiquement notre pays.


    Les jeunes devaient travailler clandestinement en se faisant passer pour des touristes. Ils parcouraient Cuba à la recherche de personnes, notamment des jeunes, susceptibles de devenir des activistes au service des États-Unis.



    EDITÉ PAR PEIO PONCE

     


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  • Source: Radio HC

    Montevideo, 5 août (RHC-PL)- Le président uruguayen, José Mujica, a remercié Cuba de sa solidarité, qui s'est concrétisée par plus de 50 000 opération ophtalmologiques.


    José Mujica a félicité les 22 membres de la brigade médicale cubaine qui travaillent en collaboration avec le personnel uruguayen à l'Hôpital ophtalmologique José Martí et il a rappelé que notre pays offre son aide dans le monde entier.


    Le président uruguayen a salué les spécialistes cubains présents au meeting pour fêter les 50 000 opérations chirurgicales de la brigade et a remercié le gouvernement cubain d'avoir formé plus de 400 médecins uruguayens.

     

     

     


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  • Source: Prensa Latina

    Les Ministres des Affaires Etrangères d'Equateur et de Palestine, Ricardo Patiño et Riad al Malki,

    le 25 mai dernier à Quito.

    Quito, le 5 août (Prensa Latina)

    Le ministre des Affaires étrangères de l' Equateur Ricardo Patiño, a appelé aujourd'hui à une paix durable pour la Palestine, où les attaques israéliennes sur Gaza ont tué 1 866 personnes et a annoncé l'ouverture d'une ambassade dans ce territoire .

    Sur son compte Twitter, le diplomate a écrit: "La Palestine vit des moments tragiques: il est du devoir moral du monde de mettre fin au massacre dans la bande de Gaza et de promouvoir une paix durable avec la justice". Le gouvernement de l'Equateur a décidé d'ouvrir une ambassade auprès de l'autorité palestinienne à Ramallah, pour laquelle une mission diplomatique a été envoyé dans cette ville. A Plusieurs occasions, Patiño et le président Rafael Correa ont condamné l'agression militaire israélienne contre la bande de Gaza, et ont préconisé la fin de ce conflit. La société civile équatorienne a également organisé diverses activités en solidarité avec le peuple palestinien , comme un concert intitulé Une chanson pour la Palestine qui s'est passé la semaine dernière au siège de l'Assemblée nationale. TGJ / LMG

    Source 2: mouvementcommuniste.over-blog.com


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  • Source: Prensa Latina

    Rome, 4 août (PL) Le pape François a annulé aujourd'hui la « suspension à divinus »  imposée au prêtre et ex-ministre nicaraguayen Miguel D'Escoto en 1984 par le pape Jean-Paul II.

    Le Pontife suprême a répondu à une lettre envoyée par l'ex-Ministre d'affaires étrangères, âgé de 81 ans qui a demandé l'autorisation pour exercer l’Eucharistie avant de mourir, a indiqué Radio Vatican.

    D'Escoto, ayant fait partie du gouvernement de Daniel Ortega après le triomphe du sandinisme en 1979, est considéré l'un des principaux représentant de la Théologie de la libération et appartient à la Dicastère missionnaire « Maryknoll ».

    Né à Los Angeles, il a exercé après à New York où il s'est engagé avec les mouvements de solidarité envers le Nicaragua, dont le gouvernement Sandaniste l'a recommandé pour diriger la diplomatie du pays centraméricain.

    La « suspension à divinus » empêchait D'Escoto de faire des messes et d'autres activités sacerdotales.


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  • Source: Cubadebate-radiohc.cu

    La Havane, 4 août (Cubadebate)- Une enquête de l'agence de presse Associated Press a révélé l'existence d'un programme secret du gouvernement de Barack Obama visant à déstabiliser politiquement Cuba.

    Ce plan, qui incluait l'envoi de jeunes latino-américains à Cuba à des fins subversives, date d'après l'arrestation d'Alan Gross, ce qui signifie que ces programmes de subversion n'ont pas cessé malgré le séisme politique provoqué par l'emprisonnement de ce sous-traitant du gouvernement étasunien.

    Ces individus, qui prétendaient venir à Cuba soi disant pour aider à la mise en œuvre de programmes de santé, voulaient en fait déstabiliser politiquement notre pays. Ce plan a été qualifié par AP d' « opération clandestine qui a mis des étrangers en danger ».

    A partir d'octobre 2009, l'Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID), a employé dans le cadre de cette stratégie des jeunes du Venezuela, du Costa Rica et du Pérou.

    Ces jeunes qui travaillaient de manière clandestine et se faisaient généralement passer pour des touristes, essayaient de détecter des personnes susceptibles de devenir des activistes politiques au service des États-Unis.

    Le travail de ces agents se caractérisait par l'incompétence et de grandes prises de risque. La formation de ces jeunes pour échapper aux services de sécurité cubains n'a consisté qu'en un séminaire d'une durée de 30 minutes et aucun réseau de sécurité ne semblait protéger ces jeunes agents inexpérimentés.

    L'un des documents révélés par AP assure : « même si rien n'est tout à fait certain, tu peux être sûr que les autorités ne vont pas te faire mal physiquement, elles vont seulement essayer de te faire peur...n'oublie pas que le gouvernement cubain préfère éviter les informations négatives des médias étrangers, et par conséquent il ne lui convient pas qu'un étranger soit frappé ».

    Au total, presque une douzaine de Latino-américains ont été employés dans le cadre de ce programme, pour un salaire horaire de 5,41 dollars.

    Edité par Peio Ponce


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  • Source: lapresse.ca

    Cuba a rompu ses relations diplomatiques avec Israël en 1973, à la suite de la guerre du Kippour.

    Photo Archives Reuters

     

    Cuba a exprimé jeudi sa «plus énergique condamnation de la nouvelle agression d'Israël» contre la bande de Gaza et appelé la communauté internationale à «exiger qu'il y soit mis fin immédiatement».

    «Cuba renouvelle sa plus énergique condamnation de cette nouvelle agression d'Israël contre la population de la bande de Gaza et confirme sa solidarité inébranlable avec le peuple palestinien», indique un communiqué du ministère cubain des Affaires étrangères.

    La Havane appelle la communauté internationale à «exiger qu'il soit mis fin immédiatement à l'agression israélienne, à exiger la levée du blocus de la bande de Gaza, le rétablissement des services médicaux, de l'approvisionnement en eau et en électricité, afin de préserver la vie de centaines de milliers d'innocents», selon le communiqué publié par le quotidien officiel Granma.

    Israël a décidé de mobiliser 16 000 réservistes pour poursuivre ses opérations à Gaza et le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a assuré jeudi que l'armée «finirait le travail» dans la bande de Gaza.

    Depuis le 8 juillet, plus de 1370 Palestiniens ont été tués et plus de 7000 blessés, selon les services de secours locaux. Côté israélien, 56 soldats et trois civils ont été tués.

    Cuba a rompu ses relations diplomatiques avec Israël en 1973, à la suite de la guerre du Kippour.


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  • Source: Le Monde

     

    La crise de la dette argentine se double maintenant de tensions diplomatiques entre Buenos Aires et les Etats-Unis. Jeudi 31 juillet, lors de sa conférence de presse quotidienne, le chef du gouvernement argentin, Jorge Capitanich, a eu des mots très durs contre les Etats-Unis, accusant le pays d'avoir une part de responsabilité dans l'échec des négociations entre son pays et les fonds « vautours », NML Capital et Aurelius. 

     

     

    Jorge Capitanich a commencé par pointer la responsabilité du juge new-yorkais Thomas Griesa et celle du médiateur désigné par ce dernier, Daniel Pollack. Ces deux hommes supervisaient le dialogue entre l'Etat et les fonds spéculatifs :

     

    « Si le juge est un agent des fonds spéculatifs, si le médiateur [judiciaire] est un agent à eux, de quelle justice parle-t-on ? Il y a dans cette affaire une responsabilité de l'Etat, des Etats-Unis, qui doivent garantir les conditions d'un respect sans restrictions de la souveraineté des pays. »

    PAS DE RÉPONSE DE WASHINGTON

    M. Capitanich, chef du gouvernement argentin, lors d'une conférence de presse, le 30 juillet 2014. | AFP/DANIEL GARCIA

    Mais, au lendemain de la fin des discussions entre l'Argentine et les fonds, le responsable de l'exécutif a surtout dénoncé un système. M. Capitanich a décrit un parti pris du pouvoir judiciaire que le gouvernement des Etats-Unis n'a pas combattu :

     

    « Du fait de leurs mauvaises pratiques, les Etats-Unis sont responsables de ne pas avoir agi de manière adéquate. Et qu'ils ne sortent pas avec l'excuse que la justice est indépendante, car elle est indépendante de la rationalité et pas des fonds vautours (...). Cela ne peut pas continuer indéfiniment. »

     

    Washington n'a pas encore répondu à ces accusations, mais le juge Thomas Griesa a annoncé qu'une nouvelle audience aurait lieu vendredi. Ces derniers jours, les discussions à New York ont tourné au dialogue de sourds.

     

    Les fonds « vautours » et M. Griesa ont mis en avant que l'Argentine devait respecter la loi des Etats-Unis et appliquer un jugement l'ordonnant de payer 1,3 milliard de dollars (970 millions d'euros). L'Argentine leur rétorque que si elle signe le chèque demandé, elle viole une clause figurant dans les contrats de dette restructurée en 2005 et en 2010 libellés à New York, spécifiant qu'elle devait offrir les mêmes conditions à tous les créanciers.

     

    L'espoir d'une solution passant par des banques privées argentines ayant proposé de racheter la dette s'amenuisait, mais des banques internationales entraient en jeu, selon la presse argentine. Le ministre de l'économie argentin, Axel Kicillof, avait promis dès mercredi soir que l'Argentine allait saisir des instances judiciaires internationales « pour faire valoir ses droits ». La présidente Cristina Kirchner, elle, devait s'exprimer en fin de journée.

     

    (C'est un article du Monde... mais pas de Paolo Paranagua, et cela saute aux yeux! Un Monde avec un peu d'objectivité de temps en temps ça fait du bien!)

     


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  • Source: Marianne

    L'Argentine et les fonds spéculatifs ne sont pas parvenus à s'entendre sur le remboursement de la dette de Buenos Aires. Un défaut de paiement relatif qui porte sur 7% de la dette du pays et une logique judiciaire qui pose la question de la fétichisation de l'Etat de droit.

     Le ministre de l'Economie, Axel Kicillof, face aux photographes, à New York - SIPANY/SIPA

    Le ministre de l'Economie, Axel Kicillof, face aux photographes, à New York - SIPANY/SIPA

     

     

    « C’est une situation inédite, insolite, injuste » s’est insurgé le ministre de l’Economie argentin, Axel Kicillof en conférence de presse, hier, à New York. Considérée en défaut de paiement, l’Argentine a pourtant remboursé, comme prévu ses créanciers. Seulement, la somme, un peu plus de 500 millions de dollars, a été bloquée aux Etats-Unis. Par un juge fédéral. Thomas Griesa.
     
    Un peu plus tôt cet été, le magistrat avait en effet condamné l’état argentin à honorer tous ses créanciers, sans exception, y compris les 7% ayant refusé, après la faillite du pays en 2001, de restructurer leur dette, autrement dit de revoir à la baisse les marges de leurs bénéfices. Faute de quoi, aucun des 93% de créanciers restants ne pourraient, à leur tour, percevoir leur dû. Ce qui est arrivé hier, date à laquelle les pourparlers arrivaient à échéance.
     
    Ainsi l’Argentine doit-elle payer. Les prêts que leur ont accordés ces fonds vautours qui se nourrissent allègrement de la débâcle des états mais plus encore : les intérêts. Colossaux. Elliot Management et Aurelius Capital, les deux comparses américains à l’origine des poursuites judiciaires, eux, se réjouissent déjà. Ils vont multiplier leur mise, 50 millions de dollars, prêtés en 2008, par vingt !
     
    Une aubaine. Sauf que la présidente Cristina Kirchner, ne l’entend pas de la même oreille. Elle avait prévenu. La casa Rosada n'a aucune intention de se « laisser rançonner ». Depuis l’une de ses résidences, la Quinta de Olivos, la présidente « dédramatise »  d'ailleurs. Ce qui arrive « était attendu » confient ses visiteurs à la Nación, quotidien d’opposition.
     
    En coulisses cependant, l’équipe gouvernementale riposte. Face aux caméras, le ministre de l’Economie, Axel Kicillof accuse. Reproche au médiateur, Daniel Pollack, désigné par le juge lui-même, de « faire le jeu » des fonds d’investissement. A Caracas, Cristina Kirchner choisit quant à elle la voie diplomatique. Tente de rallier le MERCOSUR, le marché du Sud, et les dirigeants des états membres, à sa cause. L'hôte, le président du Venezuela Nicolas Maduro, lui a déjà manifesté son soutien. De l'autre côté de l'Amérique, le juge Griesa a pour sa part refuser d'accorder plus de temps à l'Argentine. 

    Au-delà de la responsabilité des uns et des autres, se pose ici une question fondamentale d'équilibre entre le droit et la politique et de la légitimité de tribunaux - qui plus est étrangers- de décider de la faillite d'un état. Un rapport de forces si cher au modèle libéral. 

    Patricia Neves - Dimanche 3 Août 2014

     


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